En grève le mardi 26 janvier pour exiger :

  • l’abandon de toutes les suppressions d’emplois et les créations de postes pour répondre à tous les besoins urgents ; ce sont 129 postes qui seront supprimés dans le second degré uniquement dans l’académie et 12 postes de personnels administratifs. Depuis 2018, 466 postes ont été supprimés !
  • une véritable revalorisation incluant le dégel de la valeur du point d’indice, le rattrapage des pertes salariales subies et des mesures significatives de revalorisation des salaires et des carrières dans l’éducation. Rapportés aux 500 milliards offerts par le gouvernement aux banques depuis mars 2020, et utilisés pour détruire les emplois en masse, les 400 millions du « Grenelle de l’Éducation » sont une aumône méprisante ;
  • Le rétablissement d’un baccalauréat national, terminal et anonyme, premier grade universitaire permettant à tous les bacheliers l’accès aux études et à l’établissement de leur choix.
  • L’abrogation des lois Blanquer et de l’ensemble des contre-réformes, de la maternelle à la terminale.